Irrationnel, tout bonnement irrationnel !!!!
Georges qui est en bonne santé, suit depuis près de 2 ans (novembre 2007 : date de sa dernière demande de libération conditionnelle) un véritable parcours ubuesque et délirant de la part de l'empire sécuritaire franchouillard. En effet il subit par effet rétroactif la loi sur la rétention de sureté (valable pour les peines > 15 ans) de février 2008 qui l'oblige à passer 6 semaines au CNO (Centre National d'Observation) en juillet 2008.
Georges remplit (objectivement) l'ensemble des conditions nécessaires au régime de libération conditonnelle (état de santé, emploi...) Alors. Pourquoi?
Irrationnalité ou acharnement, ou les 2 !!!
Georges doit être libre et parmi nous !!!
Le lutte continue !!!
Pour la libération de Georges, nous serons là !!!
Alienatwork
La cour d’Appel de Paris vient de refuser à Georges Cipriani le régime de semi-liberté que lui avait accordé en première instance le tribunal d’application des peines de Paris.
Il aura fallu vingt et un mois à la justice pour finalement prendre cette décision. Vingt et un mois d’épreuves, telle que le passage au Centre National d’Observation de Fresnes, et vingt et un mois d’attente. Georges Cipriani est en prison depuis plus de vingt deux ans.
Après la révocation de la semi-liberté de Jean-Marc Rouillan en 2008, c’est une nouvelle expression de la violence de l’Etat qui s’abat sur un camarade, cette violence qu’avait décidée de combattre Action directe.
Un autre révolutionnaire reste également emprisonné en France ; Georges Abdallah !
En octobre il entrera dans sa vingt-sixième année de détention. Sa dernière demande de libération conditionnelle ayant été refusée en mai 2009, aucune échéance judiciaire à court terme n'est envisagée pour sa libération.
Le combat politique pour la libération des camarades continue.
Article paru sur http://liberonsgeorges.over-blog.com le 20 août 2009
Comité libérez-les!
A JUSTICE ET MENSONGES DE CLASSE !
REPONSES DE CLASSE ET UNITE !
Enfermé depuis le 21 février 1987, libérable depuis 2005, et pourtant la Cour d’Appel de Paris vient de refuser à Georges Cipriani le régime de semi-liberté que lui avait accordé en première instance le Tribunal d’Application des Peines de Paris en juin 2007.
Il aura donc fallu 21 mois et un séjour au Centre National d’Observation de Fresnes, pour s’entendre dire par une Justice spéciale, que Georges Cipriani restera encore en prison jusqu’en 2012. Ils ont donc décidé de complétement détruire Georges Cipriani.
Après la révocation en 2008 de la semi-liberté accordée à Jean-Marc Rouillan en 2007, par l’interprétation éhontée d’un article de presse, par le refus de la demande de libération de Georges Ibrahim Abdallah, c’est une nouvelle expression de la violence politique de l’Etat et de son bras armé de la Justice spéciale qui s’abat sur le camarade Georges Cipriani. Et nous pourrions ajouter le camarade corse Ivan Colonna, martyr « désigné d’office ».
Dans cette obscurité, une lueur d’espoir après 25 ans dedans, la libération semi-conditionnelle de Régis Schleicher qui est prévue pour le 26 août, mais la question qui se pose désormais : « pour combien de temps ? »
La violence du capitalisme envers des combattants politiques de par le monde, démontre une chose, la peur d’un renversement de la situation dans un moment ou l’idéologie ultralibérale est partout remise en question.
Nos camarades ici en France comme l’ensemble de nos camarades combattants internationalistes « prisonniers de guerre » de l’impérialisme, du sionisme et du colonialisme, subissent cette torture morale et physique de l’emprisonnement à perpétuité dans des conditions déplorables cachées au monde.
Les dernières péripéties de l’Etat français à l’encontre de la camarade népalaise Shova Gajurel, la violence insensée des justices étasunienne, israélienne, espagnole, italienne… contre Mumia Abu Jamal, Léonard Pelletier, les 5 cubains, Amhad Saad’at, les 11000 prisonniers palestiniens et libanais, Salah Hamouri, les 740 prisonniers basques, les 19 arrêtés du 12 février… les assassinés et les éliminés, les torturés et les déportés, les réfugiés et les Sans-Papiers… confirment que nos gouvernements imp&ea cute;rialistes et colonialistes, et leur complice sioniste ne sont : même en siégeant à l’ONU, même après avoir signé des Chartes internationales, même en prônant haut et fort la Démocratie et la Justice… que des sous-fifres du fascisme, et de la dictature de classe de l’exploitation impériale-sioniste, des marchés financiers et des lobbies des industries militaires.
Nos mobilisations et notre travail de propagande doivent s’intensifier, nous devons unir nos forces et nos militants dans des campagnes et des meetings communs d’informations, partout ou cela est possible, car NOS CAMARADES MERITENT QUE CEUX QUI SONT ENCORE DEHORS LEURS APPORTENT TOUT LE SOUTIEN ET TOUTE LA SOLIDARITE.
POUR NOS CAMARADES, UNITE !