Pour consulter le blog: linter.over-blog.com
lundi 24 août 2009, sur nlpf
… Ainsi en a décidé la cour d’appel de Paris le 20 août 2009.
Le 30 avril dernier le tribunal d’application des peines avait accordé à Georges Cipriani un régime de semi-liberté d’un an, un pas vers la liberté conditionnelle.
Georges devait travailler à mi-temps pour une banque alimentaire dans la région de Strasbourg, puis retourner en prison le restant de la journée.
Pour statuer sur ce projet qui étayait la demande déposée par Georges Cipriani, il aura fallu plus de 22 mois au cours desquels il ne fut à aucun moment remis en cause, puisqu’il a même été jugé recevable en première instance. Or le 20 août, la cour d’appel le juge insuffisant !
Georges Cipriani est donc le seul à ne pas bénéficier d’une mesure de semi-liberté. Au fond, pour la bourgeoisie, il est clair que la peine de mort est toujours de mise pour ses ennemis !
Ce qui est reproché à Georges Cipriani, c’est son engagement politique, le même que celui de ses camarades Joëlle Aubron, Nathalie Ménigon et Jean-Marc Rouillan… Cela n’avait cependant pas empêché la justice d’émettre un avis positif sur la demande de libération conditionnelle de Nathalie et de Jean-Marc !
Plus que jamais, en cette période où des salariés par milliers luttent pour leur emploi, la répression de la bourgeoisie est à l’ordre du jour. Nous exprimons une fois encore notre solidarité sans faille avec nos camarades révolutionnaires.
Liberté pour Georges Cipriani en butte à la vengeance d’État !
Plus que jamais, Ne Laissons Pas Faire ! Le 23 août 2009