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Compte rendu de verdammtlangquer.
Audience du 11 octobre 2013: le tribunal rejette toutes les requêtes de la défense et donne des indications juridiques
L'audience commence aujourd'hui avec 10 minutes de retard. La cour pénètre dans la salle d'audience et la Présidente lit deux décisions. Comme l'on pouvait s'y attendre, elle rejette la requête de la défense de Sonja contre l'expert Haag, en la déclarant sans fondement. Haag avait déclaré en avril Hermann F. apte à être cité comme témoin et avait prétendu qu'il n'y avait pas dans les expertises médicales de 1978 et 1981, d'éléments indiquant que Hermann F. aurait pu souffrir d'un syndrome de stress post-traumatique, alors même qu'il avait perdu la vue et ses deux jambes suite à l'explosion sur lui d'un engin explosif. Le tribunal suit l'expert, bien que celui-ci n'ait pas de qualification professionnelle significative dans le domaine de la post-traumatologie. Le tribunal balaie ainsi définitivement tous les arguments de la défense, selon lesquels les comptes-rendus policiers des interrogatoires, réalisés directement après l'opération de 1978 par les enquêteurs, et qui servent de base à l'accusation, doivent être rejetés du fait qu'ils procèdent de méthodes d'interrogatoire interdites. Le scandale continue donc.
Le tribunal ne peut cependant conclure la procédure car il a commis une erreur de forme lors du rejet de la demande de la partie civile de faire citer comme témoin Carlos, cette erreur devant être réparée avant que le parquet puisse lire son réquisitoire.
Peu avant la fin de cette audience d'à peine une heure et demie, le tribunal a fait inscrire au protocole que le chef d'accusation retenu pour le Point 1 (l'OPEP) et le point 2 (MAN) pourrait être la complicité et concernant l'action contre le Château d'Heidelberg la tentative d'incendie criminel.
Bericht 11.10: Gericht weist alle Anträge der Verteidigung zurück und gibt rechtlichen Hinweis
Posted on 12. Oktober 2013 by verdammt3
Die Verhandlung begann heute mit zehn Minuten Verspätung. Dann betrat das Gericht den Sitzungssaal und die Vorsitzende verlas zwei Beschlüsse. Erwartungsgemäß wies das Gericht den Antrag von Sonjas Verteidigung auf Ablehnung des Sachverständigen Dr. Haag als unbegründet zurück. Haag hatte im April die Vernehmungsfähigkeit des Zeugen Hermann F. bestätigt und behauptet, dass in den vorliegenden ärztlichen Gutachten von 1978 und 1981 keine Anhaltspunkte zu erkennen seien, wonach Hermann F., der nach der Explosion der Bombe auf seinem Schoß beide Beine und das Augenlicht verlor, damals unter einer posttraumatischen Belastungsstörung (PTBS) gelitten habe. Das Gericht folgt dem Gutachter, obwohl er über keine einschlägige berufliche Qualifikation und Erfahrung im Bereich posttraumatischer Belastungsstörungen verfügt. Damit wischte das Gericht alle Argumente der Verteidigung endgültig vom Tisch, wonach die umstrittenen Polizeiprotokolle, die unmittelbar nach der Operation 1978 von den Vernehmungsbeamten angefertigt wurden und als Grundlage für die Anklage dienen, als verbotene Vernehmungsmethoden zu werten sind. Der Skandal findet damit seine Fortsetzung.
Die Beweisaufnahme konnte das Gericht jedoch immer noch nicht schließen, weil es bei der Ablehnung eines Antrags der Nebenkläger auf Ladung von Carlos als Zeugen vor Gericht einen Formfehler begangen hatte, der noch ausgebügelt werden muss, bevor die Staatsanwaltschaft ihr Plädoyer halten kann
Kurz vor Schluss der nicht einmal einstündigen Vorstellung gab das Gericht den rechtlichen Hinweis zu Protokoll, dass die Anklage in Punkt 1 (OPEC) und Punkt 2 (Anschlag auf MAN) auch als Beihilfe und der Brandanschlag auf Heidelberger Schloss auch als versuchte Brandstiftung gewertet werden könne.