Sur le blog, un album photo montre quelques-unes de ces cartes. C'est lors de Sabar, manifestation militante, cet été, que pour la première fois, nous prenons connaissance de leur existence.
Sur le stand, ceux qui s'arrêtent, feuillettent le classeur qui les regroupe de la première à la dernière page. Nous comprenons que ce qui nous avait ému, touchait chacun, militant jeune ou moins jeune. Que tous nous étions sensibles à l'engagement, à la pensée, à la sensibilité qu'elles exprimaient.
Ces cartes ont été envoyées presque chaque jour, alors que Bruno et sa compagne étaient emprisonnés et qu'ils étaient en but à l'interdiction d'écrire, à l'isolement. Est-ce pour cela que ces cartes confectionnées avec les moyens du bord en disent tant sur l'identité révolutionnaire, sur ce lien entre conscience, action, sensations et sentiments ...
article: ces cartes qu'il nous laisse à tous: ici
Joëlle Aubron à Amnistiaren Eguna: ici
Les plus jeunes d'entre nous ont vingt ans: ici
13 juillet, obsèques à Biarritz. Témoignage d'une camarade basque: ici
13 juillet, Les mots de linter: ici
13 octobre. Partager ce moment de souvenir et d'avenir: ici
13 octobre au Père-Lachaise. Pour un communisme vécu, pour le communisme toujours: ici