Les risques sont grands et réels. La loi sur la rétention de sûreté a été votée. Non rétroactive comme décidé par le conseil constitutionnel(!), elle permet cependant de mettre en place dès aujourd'hui la généralisation de la période d'observation pour les prisonniers estimés dangereux, avant la mise en liberté.
Cela signifie six semaines minimum d'observation et le passage devant une commission avec préfet, représentant des associations de victimes etc et le risque de voir cette commission s'opposer à la liberté conditionnelle, même si tous les autres critères sont réunis.
Solidarité avec les prisonniers politiques
Après plus de vingt ans de prison pour certains, ils doivent sortir.