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L'Internationale

L'Internationale, 1983. Le premier numéro d'un journal paraît, qui reprend le titre de celui publié en 1915 par Rosa Luxemburg - emprisonnée - alors que s'affrontaient les peuples entraînés dans la plus grande des boucheries par le capitalisme, l'impérialisme, et alors que s'étaient ralliés à celle-ci les partis de l'Internationale. En 1919, ceux-ci mettront à mort celle qui avait résisté et qui pour cela avait été emprisonnée. L'internationale 1983 comptera 11 numéros, avant de devoir s'arrêter momentanément : Il témoignera de luttes - et certains qui menèrent ces luttes sont encore aujourd'hui emprisonnés. Il réfléchira à l'évolution du capitalisme - et cette réflexion reste toujours aussi nécessaire. Le blog linter est la chronique d'un journal, c'est par là même la chronique des luttes menées alors, cela pourra être aussi la chronique de luttes menées ... aujourd'hui.

      

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Aux camarades, visiteurs du blog, bienvenue ...
Aux camarades qui viennent de rejoindre le blog, bienvenue. A ceux aussi qui lui rendent visite à l'occasion, bonjour. Le combat n'est jamais un échec, s'informer est déjà un pas vers la conscience. L'ordre et la sécurité ne sont pas le désir de tous, s'aliéner par tous les moyens de la société d'aujourd'hui ne nous intéresse pas. Nous ne cherchons pas à exploiter l'autre. Nous ne tournons pas la page des combats passés, ils sont partie de nous. Et chaque mot que nous lisons, chaque image  que nous voyons, contribue à nous former. Nous ne sommes pas dupes. Nous sommes solidaires. Nous chassons les chasseurs d'enfants. Et nous sommes  le jour face à la nuit sans cesse renouvelée de la violence et de l'oppression. Il n'y a pas d'âge pour la révolte. Et 68 rejoint l'esprit de la Bastille de ce 6 mai où les pavés ont su de nouveau voler. La révolte est une et se rit de toutes les différences.

Pour tous ceux qui viennent sur ce blog, qui font "la route des insoumis" que décrit Nathalie, qui sont et seront les révolutionnaires de demain dont parle Jean-Marc, qui se reconnaissent ce droit à l'insurrection que revendique Georges. Pour chacun, ce collage de Joëlle, mieux qu'un bras d'honneur, à tous ceux qui sont ce que nous refusons.

La queue de la baleine, Nathalie, nous ne la lâcherons pas!

Archives

Joëlle Aubron

Sur ce collage, un poème. linter
C'est l'automne, et ce n'est pas l'automne,
Ces femmes qui marchent
Des combattantes?
Des femmes qui marchent?
Vie de tous les jours ou vie d'exception?
Guerre d'Espagne,
Journées d'après occupation?
Journées d'après l'occupation?
La vie est simple
comme l'est souvent le combat

Entre l'or du feuillage
et le noir et blanc de la vie
Cette image sensible

Georges lors d'une audience devant le JAP en 2005
En tout premier lieu, du fait qu'il va être question ici de mes inclinaisons politiques et de mon évolution depuis 1987 au sein du monde carcéral, je tiens à faire une déclaration de principe : ainsi, conformément à la Constitution de la République française de 1792, repris par l'Article 35 du 26 Juin 1793 *, stipulant un droit à l'insurrection, qui a servi à Valmy pour sauvegarder et étendre la révolution, qui a servi en 1871 avec la Commune de Paris contre l'occupation Prussienne, qui a encore servi en 1940 contre l'occupation national-socialiste allemande et la collaboration pétainiste française, et pour encore servir concrètement après 1968 dans la plupart des pays d'Europe de l'Ouest avec l'insurrection armée larvée et latente contre chaque Etat capitaliste en place et contre l'OTAN ; une Constitution qui après avoir servi depuis son avènement de réfèrent à la plupart des peuples de par le monde pour se libérer des différents maux entretenus que sont, soit l'occupation étrangère, soit l'oppression de classe, soit l'exploitation de l'homme par l'homme jusqu'à l'esclavagisme, leur a ouvert une perspective politique. Et dès lors dans l'assurance qu'elle restera de même une référence au futur pour tous les peuples épris de Liberté, d'Egalité, de Fraternité et de Démocratie, conformément à cette Constitution de 1792 donc, je me refuse à abjurer ces moments historiques comme je me refuse à abjurer la stratégie de Lutte Armée pour le communiste, qui en est une expression particulière.
(
Georges Cipriani  MC Ensisheim, 49 rue de la 1ère armée 68 190 Ensisheim)


Jean-Marc dans une interview en 2005

C'est la question centrale (la question du repentir) depuis notre premier jour de prison. Et c'est le pourquoi de nos condi­tions de détention extraordi­naires, des restrictions actuelles sur le droit de communiquer ou de la censure des correspon­dances. Dans aucune des lois de l'application des peines, il n'est stipulé que le prisonnier doit ab­jurer ses opinions politiques. Mais pour nous, certains procu­reurs n'hésitent pas à affirmer que les revendications du com­munisme impliquent une récidive. Je sais bien que si nous nous repentions, nous serions soudai­nement adulés par la bonne so­ciété, mais ce n'est pas notre vi­sion de la responsabilité poli­tique. Notre engagement n'est pas à vendre ni à échanger contre un peu de liberté.
(Jean-Marc Rouillan 147575 Cd des baumettes, 230 Chemin de Morgiou Marseille Cedex 20

Joëlle à sa sortie le 16 juin 2004
Je suis fatiguée, aussi je dirai seulement trois choses :
La première est d'être bien sûr contente d'avoir la possibilité de me soigner.
La seconde est que l'application de la loi de mars 2002 reste cependant pour de nombreux prisonnières et prisonniers très en deça de son contenu même.
La troisième est ma conscience de ce que la libération de mes camarades est une bataille toujours en cours. Régis est incarcéré depuis plus de 20 ans, Georges, Nathalie et Jean-Marc, plus de 17. Je sors de prison mais je dois d'abord vaincre la maladie avant de pouvoir envisager une libération au sens propre. L'objectif reste ainsi celui de nos libérations.

Nathalie, en février 2007

Cependant, pour nous, militant-e-s emprisonné-e-s du fait du combat révolutionnaire mené par l’organisation communiste Action directe, nous sommes sûrs de notre route : celle des insoumis à l’ordre bourgeois. Tant que des femmes et des hommes porteront des idées communistes, les impérialistes au pouvoir frémiront jusqu’à ce que la peur les gèle dans leurs manoirs sécurisés à outrance.

21 mai 2017 7 21 /05 /mai /2017 13:14
La séance du dimanche de Quartiers libres : Festival panafricain d’Alger 1969

Documentaire de William Klein : en 1969, le premier Festival Panafricain d’Alger crée l’événement.

Tourné en juillet 1969 au plus près des artistes et des troupes d’un festival resté dans les annales, le film se nourrit d’archives des luttes d’indépendance et d’entretiens avec des représentants de mouvements de libération, mais aussi d’écrivains et d’essayistes africains ou caribéens comme le poète haïtien René Depestre ou le linguiste sénégalais Pathé Diagne.


Les leaders politiques conviés à s’exprimer dans Festival Panafricain d’Alger, étaient à la fois engagés dans une lutte contre le colonialisme portugais et dans les questions culturelles : citons Amilcar Cabral (PAIGC, Guinée Bissau et Cap Vert), Agustinho Neto (MPLA, Angola), Mario de Andrade, des militants ANC (Afrique du Sud).


Le film se termine par un rappel d’images de luttes anti-coloniales en Afrique, des militants Black Panthers montent sur scène avec Archie Shepp accompagné d’un orchestre touareg du sud algérien, la performance se déploie en forme de crescendo (rappel des révoltes dans les ghettos US, des images de luttes anti-coloniales en Afrique).

 

Ci-dessous une partie du documentaire dans une bonne qualité:

 

 

Ci-dessous le documentaire dans sa totalité mais en mauvaise qualité, n’hésitez pas à vous le procurer.

 

 

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17 mai 2017 3 17 /05 /mai /2017 21:31
Bien que par deux fois, des femmes et des hommes se sont personnellement engagés et ont explicitement demandé la relaxe de Jean-Marc Rouillan, considérant clairement que le motif de l'inculpation était injustifié, rien n'y a fait, rien n'y fait.
Jean-Marc a été condamné en appel. 8 mois fermes et 10 mois de sursis. S'il y avait eu apologie des actes, croit-on que la condamnation aurait été de cet ordre!  En fait, c'est bien Jean-Marc Rouillan que l'on cherche à condamner. Car il n'y a pas d'apologie dans cette interview.
Maintenant, il se pourvoit en cassation.
Restons solidaires et à ses côtés.
Message de Coup pour coup

Nous apprenons que Jean-Marc Rouillan vient d'être condamné en appel à 8 mois de prison ferme et 10 mois avec sursis suite à ses propos tenus lors d'une interview à une radio. Il avait été condamné en première instance à 8 mois de prison ferme.

Il a fait un pourvoi en cassation et ceci suspend alors sa peine.

Lors de la première accusation, notre collectif anti-impérialiste Coup Pour Coup 31 s'était joint à l'appel à solidarité avec le camarade Jean-Marc Rouillan.

Nous lui réitérons tout notre soutien et toute notre solidarité face à cet acharnement politico-judiciaire.

La solidarité est notre arme !

Abandon des charges contre Jean-Marc Rouillan !

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17 mai 2017 3 17 /05 /mai /2017 21:09
Le co-fondateur d’Action directe a été condamné pour «apologie du terrorisme». Alors que le jugement en appel est attendu ce mardi, des personnalités demandent l'arrêt des poursuites au nom de la liberté de l’expression.

Jean-Marc Rouillan a été condamné en septembre 2016 pour apologie du terrorisme, à la suite d’une émission de radio à Marseille, au cours de laquelle il a remis en question les éléments de langage officiels sur les actions terroristes. Il est accusé pour avoir récusé une lecture politique qui vise à décrire les acteurs des événements de janvier 2015 et de 13 novembre 2015 comme des fous, des voyous manipulés, tuant par lâcheté.

 

Certes Rouillan, ancien leader d’Action Directe, groupe anticapitaliste favorable à la lutte armée, est connu pour défendre la légitimité de la violence révolutionnaire. Il continue d’affirmer qu’aucune transformation radicale d’une société n’est possible sans confrontation avec les forces défendant les institutions existantes. Mais ce ne sont pas ces positions qui sont visées par la justice. Il est, en vérité, inquiété pour avoir contesté le récit officiel dans ces propos : «On peut dire qu’on est absolument contre leurs idées réactionnaires, on peut parler de plein de choses sur eux mais pas dire que ce sont des gamins qui sont lâches», parce qu’ils savaient leur mort certaine. Et c’est au nom de ce point de vue, certes dissident, que l’on accuse et condamne aujourd’hui Rouillan pour apologie du terrorisme. Une aberration du point de vue tant pénal que démocratique, quand on sait de surcroît que, dans la même interview, Rouillan a condamné l’idéologie «mortifère» des terroristes de Daech comme un «régime ennemi».

 

Aberrations

Fait inquiétant : ses accusateurs usent de la catégorie d’apologie de terrorisme pour entraver la liberté d’expression et la possibilité de rendre audible toute analyse considérée comme déviante, au nom de l’opinion dominante et de l’«unité nationale» imposée depuis janvier 2015, à la suite de l’ensemble des attaques perpétrées en France. Cette méthode est ancienne. Mais la pénalisation de la parole et de l’engagement dissidents reprend de l’ampleur ces derniers temps, du fait de la crispation politique actuelle. Autre aberration, quand on sait combien les dirigeants présents à la manifestation du 11 janvier 2015 prétendaient marcher pour défendre la liberté d’expression, piétinée en réalité dès qu’elle sort du cadre conventionnel.

 

La mise en cause de Jean-Marc Rouillan prend place dans une série notable qui traduit la normalisation de la répression contre l’activisme politique (écologiste, anticapitaliste ou antiraciste). Cette répression est encore facilitée par l’état d’urgence qui autorise les pouvoirs de police, sans l’intervention d’un juge judiciaire, à décider des assignations à résidence, des gardes à vue ou des perquisitions. Tout cela sous couvert de lutte contre le terrorisme.

 

Une logique répressive

Lors de la COP 21, en décembre 2015, des militants écologistes ont été assignés à résidence ou perquisitionnés par la préfecture. Lors des manifestations contre la loi travail, la répression policière a été sans précédent et s’est accompagnée de gardes à vue, assignations à résidence et perquisitions. En août 2016, deux militants anti-nucléaire ont été interpellés et mis en garde à vue durant vingt-huit heures pour «dommage grave», après avoir collé des stickers et apposé des inscriptions à la craie sur le siège du parti Les Républicains. C’est dans cette logique répressive que s’inscrit la mise en cause de Rouillan.

 

Museler la militance politique, empêcher par la répression les mouvements sociaux de s’exprimer, interdire une pensée alternative à la parole officielle : cette politique à courte vue, tentant de cacher les symptômes du mécontentement social, se prive de diagnostiquer le mal réel, qui est un divorce croissant entre les dirigeant-e-s politiques et la population que ces dirigeant-e-s entendent gouverner.

 

Les attentats terroristes sont ignobles : nous les condamnons, nous nous y opposons. Cependant, un Etat de droit démocratique doit reconnaître que les propos de Jean-Marc Rouillan relèvent, simplement, du libre débat. Ils ne peuvent être considérés comme une apologie d’actes terroristes. En engageant des poursuites, le parquet entend interdire l’expression d’une opinion, après en avoir volontairement déformé le sens. Ce qui est en jeu dans ce procès politique, c’est la liberté d’expression et sa restriction aux opinions convenues et dominantes.

 

Pour la liberté d’expression, le pluralisme des points de vue et contre l’injonction d’adhésion à un récit officiel, nous demandons la relaxe de Jean-Marc Rouillan.

 

Premiers signataires : Gilbert Achcar, universitaire et écrivain; José Alcala, réalisateur; Florence Allègre, militante anticapitaliste; Jean-Claude Amara, porte-parole de Droits devant !; Dominique Angelini, enseignante; Jean Asselmeyer, cinéaste; Alain Badiou, philosophe; Ludivine Bantigny, historienne; Emmanuelle Bastid, bibliothécaire; Jean-Pierre Bastid, cinéaste; Véronique Bergen, écrivaine; Daniel Blondet,  militant anti-impérialiste; Félix Boggio Éwanjé-Épée, revue Période, Christophe Bonneuil, historien; Alima Boumediene, avocate; Sylvie Braibant, écrivaine et citoyenne; Raphaëlle Branche, historienne; Rony Brauman, enseignant, essayiste; Carmen Castillo, réalisatrice; Laurent Cauwet, éditeur, Al Dante; Bernard Cavanna, compositeur; Manuel Cervera-Marzal,  sociologue; Déborah Cohen, historienne; Philippe Corcuff, maître de conférences de science politique; Marie-Claire Cordat, artiste; Jean-Michel Couzon (psychanalyste et psychologue); François Cusset, historien et écrivain; Jenny Darrot, artiste; Christine Delphy, sociologue; Marco DiMaggio, historien; Thierry Discepolo, éditeur; Aurélien Dubuisson, historien; Alain Dugrand, écrivain; Tom Dugrand, écrivain; Annie Ernaux,  écrivaine; Marie-Christine Etelin, avocate honoraire; Jules Falquet, sociologue; Alexandra Frenod, sociologue; Alain Frappier, illustrateur; Désirée Frappier, scénariste; Franck Gaudichaud, enseignant-chercheur; Liliane Giraudon, poète; Michèle Goslar, écrivaine; Caroline Guibet Lafaye, sociologue et philosophe; Éric Hazan, éditeur; Rada Iveković, philosophe; François Jarrige, historien; Manuel Joseph, écrivain; Alain Jugnon, philosophe; Razmig Keucheyan, sociologue; Pierre Khalfa, syndicaliste; Stathis Kouvelakis, universitaire; Patrice Lardeux, syndicaliste CGT; Stéphane Lavignotte, pasteur; Olivier Le Cour Grandmaison, historien; Paul Machto, psychiatre; Philippe Marlière, politiste, Stella Magliani-Belkacem, La fabrique éditions; Jean-Henri Meunier, cinéaste; Catherine Mollet, syndicaliste CGT; Olivier Neveux, universitaire; Bernard Noël, poète; Julie Pagis, sociologue; Ugo Palheta, sociologue; Paul Pasquali, sociologue; Florence Pazzottu, auteure; Willy Pelletier, sociologue; Thierry Perennes, syndicaliste CGT; Philippe Pignarre, éditeur; Théo Roumier, syndicaliste Solidaires; Catherine Samary, économiste; Bernard Stiegler, philosophe; Rémy Toulouse, éditeur, Anne Vallaeys,  écrivain; Nicolas Vieillescazes, éditeur; Xavier Vigna, historien; Olivier Vinay, syndicaliste; Jean-Jacques Viton, poète; Christiane Vollaire, philosophe

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15 mai 2017 1 15 /05 /mai /2017 22:19
Jean-Marc Rouillan, encore une fois l'attente d'un verdict ... Demain 16 mai. Relaxe, arrêt de l'acharnement. Il n'y a pas d'apologie, il ne peut y avoir de condamnation.

Tract de camarades du Nord

2 ans de prison dont un avec mise à l'épreuve pour apologie du terrorisme demandés par l'avocat général  le 18 avril 2017. Verdict le 16 mai.

Il n’y a pas d’apologie,
il ne doit pas y avoir de condamnation.

Stop à l’acharnement.

Jean-Marc Rouillan, encore une fois l'attente d'un verdict ... Demain 16 mai. Relaxe, arrêt de l'acharnement. Il n'y a pas d'apologie, il ne peut y avoir de condamnation.

Jean-Marc Rouillan, lors de son précédent emprisonnement pour une interview transformée en apologie du terrorisme :


« Je regrette d’être emprisonné pour délit d’opinion quand j’ai affirmé durant toute mon existence que seul l’acte donne leur véritable sens aux mots.

 Dans les Vers nouveaux, Rimbaud était bien plus explicite :

 “De rage, sanglots de tout enfer renversant… Industriels, princes, sénats, périssez ! Puissance, justice, histoire, à bas !”

J’aurais peut-être dû versifier mon propos ?

Un de ces jours, il me faudra tout de même calculer (en jours de prison) le poids de chacun des mots qui provoqua les foudres de la justice. »

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8 mai 2017 1 08 /05 /mai /2017 17:56

7 mai 2017 : 10 millions de personnes ont donné leur voix au front national. 10 millions de personnes qui se reconnaissent dans une pensée et une action raciste, s'appuyant sur le nationalisme et endoctrinant les classes exploitées. Cela s'est appelé un temps le national - socialisme. C'est une pensée récurrente et qui toujours ici a trouvé et trouve ses artisans et ses partisans.

 

Aujourd'hui, 8 mai, on commémore. Mais, il y a deux 8 mai.

On ne parle que d'un tout en l'édulcorant, celui du fascise nazi vaincu. Par deux fois d'ailleurs, il fut tenté de supprimer ce jour férié. On oublie le rôle du peuple soviétique et glorifie l'ami américain venu pourtant si tardivement. On parle des morts sans en désigner les causes.

Et on occulte l'autre, les massacres du peuple algérien en ce jour que l'on voulait symbolique.

 

Le fascisme comme le colonialisme sont issus du capital. Certains se laissent berner. D'autres en tirent les profits. Exploitation, oppression, mondialisation, racisme, inégalités l'alimentent.

La conscience, l'éducation et les luttes sont ses ennemis.

 

Mémoires et images mêlées

car elles ne font qu'une.

 

linter

 

8 mai - 8 mai. Mémoires et images mêlées car elles ne font qu'une. Contre le fascisme, contre le colonialisme.8 mai - 8 mai. Mémoires et images mêlées car elles ne font qu'une. Contre le fascisme, contre le colonialisme.
8 mai - 8 mai. Mémoires et images mêlées car elles ne font qu'une. Contre le fascisme, contre le colonialisme.8 mai - 8 mai. Mémoires et images mêlées car elles ne font qu'une. Contre le fascisme, contre le colonialisme.
8 mai - 8 mai. Mémoires et images mêlées car elles ne font qu'une. Contre le fascisme, contre le colonialisme.8 mai - 8 mai. Mémoires et images mêlées car elles ne font qu'une. Contre le fascisme, contre le colonialisme.
8 mai - 8 mai. Mémoires et images mêlées car elles ne font qu'une. Contre le fascisme, contre le colonialisme.8 mai - 8 mai. Mémoires et images mêlées car elles ne font qu'une. Contre le fascisme, contre le colonialisme.
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8 mai 2017 1 08 /05 /mai /2017 17:30
Invraisemblable - Interdiction pour un camarade de se rendre dans certains arrondissements ... suite à appel à manifester!

Un camarade indique:

 

Visite des flics à l'instant : arrêté préfectoral portant "interdiction de séjour" pour demain suite à l'appel à manifester ...pas le droit de me rendre dans le 3, 4, 10, 11, 12ème arrondissement, et sur les Champs-Elysées ...

 

La raison : il a appelé à plusieurs manifestations dans le passé. Violence pour lui, intimidation pour tous.

 

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8 mai 2017 1 08 /05 /mai /2017 09:51
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7 mai 2017 7 07 /05 /mai /2017 22:33

Ces paroles de l'Internationale et l'un des textes les plus justes de Rosa Luxemburg parce que nous nous devons de continuer le combat et de ne pas céder au désespoir ...

Grève de masse. Rosa Luxemburg

 

La grève de masse telle que nous la montre la révolution russe est un phénomène si mouvant qu'il reflète en lui toutes les phases de la lutte politique et économique, tous les stades et tous les moments de la révolution. Son champ d'application, sa force d'action, les facteurs de son déclenchement, se transforment continuellement. Elle ouvre soudain à la révolution de vastes perspectives nouvelles au moment où celle-ci semblait engagée dans une impasse. Et elle refuse de fonctionner au moment où l'on croit pouvoir compter sur elle en toute sécurité. Tantôt la vague du mouvement envahit tout l'Empire, tantôt elle se divise en un réseau infini de minces ruisseaux; tantôt elle jaillit du sol comme une source vive, tantôt elle se perd dans la terre. Grèves économiques et politiques, grèves de masse et grèves partielles, grèves de démonstration ou de combat, grèves générales touchant des secteurs particuliers ou des villes entières, luttes revendicatives pacifiques ou batailles de rue, combats de barricades - toutes ces formes de lutte se croisent ou se côtoient, se traversent ou débordent l'une sur l'autre c'est un océan de phénomènes éternellement nouveaux et fluctuants. Et la loi du mouvement de ces phénomènes apparaît clairement elle ne réside pas dans la grève de masse elle-même, dans ses particularités techniques, mais dans le rapport des forces politiques et sociales de la révolution. La grève de masse est simplement la forme prise par la lutte révolutionnaire et tout décalage dans le rapport des forces aux prises, dans le développement du Parti et la division des classes, dans la position de la contre-révolution, tout cela influe immédiatement sur l'action de la grève par mille chemins invisibles et incontrôlables. Cependant l'action de la grève elle-même ne s'arrête pratiquement pas un seul instant. Elle ne fait que revêtir d'autres formes, que modifier son extension, ses effets. Elle est la pulsation vivante de la révolution et en même temps son moteur le plus puissant. En un mot la grève de masse, comme la révolution russe nous en offre le modèle, n'est pas un moyen ingénieux inventé pour renforcer l'effet de la lutte prolétarienne, mais elle est le mouvement même de la masse prolétarienne, la force de manifestation de la lutte prolétarienne au cours de la révolution. A partir de là on peut déduire quelques points de vue généraux qui permettront de juger le problème de la grève de masse..."


Publié le 20 février 2009

sur le blog comprendre-avec-rosa-luxemburg

009

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6 mai 2017 6 06 /05 /mai /2017 18:06
Notre camarade Jean-Marc Rouillan est poursuivi en raison d'opinions émises dans la presse

Cher(e)s camarades,

 

 

Notre camarade Jean-Marc Rouillan est poursuivi en raison d'opinions émises dans la presse.

 

L’État français ami des dictatures féodales du Qatar et de l'Arabie saoudite, l'impérialisme français responsable de la destruction de la Libye et de la déstabilisation en Syrie (qui ont aussi favorisé l'avènement des criminels de "Daech") lui reprochent une prétendue "apologie du terrorisme" islamiste.

 
Des accusations totalement infondées comme notre camarade et ses avocats s'en sont largement expliqués au Palais de Justice de Paris en juin 2016.
 

La "Justice" continue cependant de s'acharner contre notre camarade.

En appel, lors d'une récente audience, le procureur a demandé un alourdissement de la peine initiale.

 

Solidarité avec Jean-Marc Rouillan.
Exigeons la relaxe !
 
 
Bien fraternellement
Les Amis de Joseph Tournel
 
 
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22 avril 2017 6 22 /04 /avril /2017 21:06
Jean-Marc Rouillan. Un procès en appel en catimini, en aucun cas sur le délit retenu, un risque grave pour sa liberté. C'est bien le militant qui est jugé et non ses paroles. Se mobiliser dès maintenant, être là le au verdict le 16 mai ...

Nous avons appris au dernier moment la tenue du procès en appel.

La date a été choisie en plein délire médiatique pour les élections.

C'est bien un procès en catimini qui a été organisé.

 

Le procès n'a de nouveau pas abordé le problème de l'apologie.

Normal, il n'y a pas d'apologie.

C'est donc l'homme, le militant qui est attaqué.

Et l'attaque est à la mesure de la violence de l'Etat contre lui.

 

Le procureur a demandé, mardi 18 avril 2017, deux ans de prison,

dont un an assorti d’un sursis avec mise à l’épreuve.

 

La décision sera rendue le 16 mai.

 

Tout avait été essayé pour dénoncer ce déni de justice.

Notre pétition indiquant qu'il n'y avait pas apologie

a été largement signée.

Nous avions mis à disposition l'ensemble de l'interview.

Chacun pouvait sur pièce juger avant de signer.

 

La Ligue des droits de l’homme, elle-même et d'elle-même, sans aucune sollicitation

avait dénoncé cette grave atteinte à la liberté  le 8 septembre 2016.

 

Aujourd'hui, nous demandons aux signataires et à tous ceux qui s'étaient mobilisés

de reprendre contact pour nous organiser et protéger Jean-Marc Rouillan.

 

Il n'y a pas d'apologie,

Il ne peut y avoir de condamnation.

Jean-Marc Rouillan ne doit pas retourner en prison.

 

Le communiqué de la Ligue des droits de l'Homme du 24 juin 2016
 

La liberté d’expression est un droit fondamental

Depuis que l’infraction pour apologie du terrorisme a été retirée de la loi sur la presse de 1881 pour être transférée dans le Code pénal, les inculpations se sont multipliées, souvent en comparution immédiate, et ont fait l’objet de condamnations très sévères.

 

Jean-Marc Rouillan, cofondateur d’Action directe, condamné pour assassinats et en liberté conditionnelle depuis 2012, fait aujourd’hui l’objet de poursuites pour avoir tenu, dans une interview, des propos présentés comme une apologie publique de terrorisme. Il sera jugé le 1er juin.

Quelle que soit l’appréciation que l’on ait sur ces propos et sur leur pertinence, ils relèvent du libre débat et ne peuvent être considérés comme une apologie des actes de terrorisme. En engageant ces poursuites, le parquet ne demande pas de sanctionner une apologie, il tente d’interdire une opinion dont il déforme sciemment le sens. Si l’on suit le parquet dans sa volonté de limiter la liberté d’expression aux seules opinions convenues, choquer ou critiquer deviendra bientôt un délit.

La liberté d’expression est un droit fondamental, c’est pourquoi les poursuites contre Jean-Marc Rouillan doivent être abandonnées.

Paris, le 31 mai 2016

Notre pétition

https://blogs.mediapart.fr/florence-allegre/blog/230616/appel-pour-labandon-des-poursuites-contre-jean-marc-rouillan

 

APPEL A L'ABANDON DES POURSUITES CONTRE JEAN-MARC ROUILLAN POUR APOLOGIE PUBLIQUE D'UN ACTE DE TERRORISME

 La liberté d'expression est un droit fondamental, Jean-Marc Rouillan en a fait usage dans une interview.Ces propos ont été transformés en apologie d'un acte de terrorisme.

La liberté d'expression ne peut-être un droit à géométrie variable, réservé aux seuls gouvernants.

Le contexte émotionnel fort qui conduit à engager des poursuites pour apologie d'un acte de terrorisme est précisément celui auquel la justice doit savoir se soustraire.

C'est pourquoi les poursuites contre Jean-Marc Rouillan doivent être immédiatement abandonnées.

             « Il n'y a de liberté pour personne s'il n'y en a pas pour celui qui pense autrement »  Rosa Luxemburg

                                                                                            

Collectif Pour l'abandon des poursuites contre Jean Marc Rouillan

Gilbert Achcar, politologue, Jean Charles Agboton-Jumeau, critique d'art, José Alcala, réalisateur, Pierre Alferi, écrivain, Jean-Claude Amara porte-parole Droits devant, Amandine André, écrivaine, Stéphane Arnoux, cinéaste, Alima Arouali cinéaste, Nathalie Arthaud, porte-parole de Lutte Ouvrière, Jean Asselmeyer, cinéaste, Edith Azam, poétesse, Olivier Azam, cinéaste, BBoyKonsian, label rap, Alain Badiou, philosophe, Etienne Balibar, philosophe, Manuel Barbeito, sculpteur, Eugénie Barbezat, journaliste Aligre FM/ l’Humanité, Patrice Bardet, syndicaliste (59), Jean-Jacques Barey, opérateur culturel, Emmanuelle Bastid, bibliothécaire, Jean-Pierre Bastid, cinéaste, Luc Benazet, écrivain, Stéphane Berard, artiste, David Berganout, réalisateur, Véronique Bergen, écrivaine, Jérôme Bertin, écrivain, Olivier Besancenot, porte-parole du NPA, Nathalie Bianchi, Professeure Université Aix Marseille, Marie Billerot, éditrice, Rudolf Bkouche, Universitaire, Julien Blaine, poète, Jean Paul Blondeau, directeur de recherche INSERM (retraité), Félix Boggio Éwanjé-Épée, revue Période, Jacques Boisset, philosophe, Manon Boltansky, restauratrice d’œuvres d’art, Bernard Bolze, militant associatif, Saïd Bouamama, sociologue, Florence Boubekri, militante NPA, Brigitte Boulier, enseignante, Sébastien Boulinguez, syndicaliste, Alima Boumediene, avocat, Mustapha Boutadjine, plasticien, Alexandre Braud, avocat, Rony Brauman, médecin, Billie Brelok, rappeur, Nicole Brenez, professeure études cinématographiques, Sebastian Bugden, éditeur Verso Books, Michel Butel, écrivain, Pierre Carles, réalisateur, Benoît Casas, auteur-éditeurCasey, rappeur, Alain Castan, éditeur, Carmen Castillo, cinéaste, Laurent Cauwet, éditeur, Bernard Cavanna, compositeur, Nat Cazarré, directeur de Ekaitza, Jean-Philippe Cazier, écrivain, Manuel Cervera-Marzal, sociologue, Pierre Chopinaud, écrivain, Alexandre Civico, écrivain éditeur, Pascal Colé, journaliste, Jean-Louis Comolli, cinéaste, Philippe Corcuff, maître de conférences IEP de LyonMarie Claire Cordat, artiste, Annick Coupé, syndicaliste, Sylvain Courtoux, écrivain, Léon Crémieux, syndicaliste, Pierre Crétois, philosopheMarie Croze, éditrice, Laurent Cusey, syndicaliste, Marcel Debauche, retraité , Courrières (62), André Delcourt, maire PCF de Calonne-Ricouart 1983 à 2014, ex-conseiller général du Pas-de-Calais, Christian Delépine, ex-conseiller prud'homal CGT (62), Sameh Dellaï, philosophe, Pauline Delprat, directrice de casting, Laurene Denimal,artiste, Christophe Dero, ouvrier (62), Eric Descamps, ex militant de la LCR .(62), Daniel Dewalle, PCF Houdain (62), Rokhaya Diallo, journaliste, Thierry Discepolo, éditeur, Jean Douchet, cinéaste, Anne Dufour, militante associative (Iparalde), Cédric Durand, économiste, Driss El Kherchi, président de l'ATMF, Bruno Drweski, enseignant-chercheur, militant ARAC, Franck Dupont, syndicaliste Sud Education (59/62), Cédric Durand, économiste, Daniel Edinger, cinéaste, Editions Syllepse, Stéphanie Eligert, écrivaine, Frédéric Erard, syndicaliste, Annie Ernaux, écrivaine, Marie-Christine Etelin, avocate honoraire, Sophie Etienne, chercheure associée Univ. Lille, EA4354 – CIREL, Eva Feigeles, monteuse de films, Guy Ferdinande, artiste auxiliaire, Alexandra Frénod, CNRS, Jacques Gaillot, évêque, Anne de Galzain, cinéaste, Sylvie Garbarz, membre Collectif de soutien à la résistance palestinienne 59, Antoine Garcia,directeur d’Établissement médico-social, Franck Gaudichaud, politologue, Didier Gayant, militant (62)Fabrice Genestal, cinéaste, Georgio Pennequin, écrivain, Liliane Giraudon, poétesse, Jean-Marc Gleize, écrivain, Dominique Grange, chanteuse, Alain Gresh, journaliste, Serge Grossvak, Union des Juifs pour la Résistance et l’entraide, Caroline Guibet Lafaye, philosophe sociologue, Laure Guillot, productrice, Laëtitia Hamel, ingénieur en dispositif de formation adultes, Stéphane Hardy, Porte parole comité Libérez-Les 59/62, Eric Hazan, éditeur, Christophe Herin, enseignant, Marie Hermann, éditrice, Hervé Heurtebize, syndicaliste, Joël Hubaut, artiste, Rada Ivekovic, philosophe, Manuel Joseph, écrivain, Alain Jugnon, philosophe, Leslie Kaplan, écrivaine, Laurence Karsnznia, réalisatrice, Anne Kawala, écrivaine, Razmig Keucheyan, sociologue, Kino, cinéma Lille, Jacques Kmieciak, journaliste (militant CGT Pas-de-Calais), Stathis Kouvelakis, philosopheGabriel Krause (59), Jacques Lacaze, médecin – chercheur, Jeannie Lacoste, philosophe, Thomas Lacoste, cinéaste, Mourad Laffitte, réalisateur, Arlette Laguiller, porte-parole de Lutte Ouvrière, Marie Laigle, éditrice, Iwan Lambert, comédien, Mikel Lapeyre, journaliste, Sylvain Laurens, sociologue, Serge Laurent, syndicaliste, Stéphane Lavignotte, pasteur, Lax, rappeur, Sylvain Lazarus, anthropologue, Joël Le Jeannic, Syndicaliste Sud, Jean-Yves Lesage, ouvrier du livre, militant CGT, Fabienne Letang, artiste, Laure Limongi, écrivaine, Pierre Linguanotto, cinéaste, Claude Lucantis, Comité Solidarité Basque Lille, Lorette Lucantis, enseignante retraitée, Stella Magliani-Belkacem, éditrice (La fabrique éditions), revue Période, Christian Mahieux, cheminot syndicaliste, Philippe Marlière, politologueXavier Mathieu, comédien CGT Conti, Sandrine-Malika Messaoudi, écrivain, Jean Henri Meunier, cinéaste, Bechir Mezni, économiste, Natacha Michel, écrivaine, Jacques-Henri Michot, écrivain, Thierry Milhomme, éducateur (62), Marie-Josée Mondzain, philosophe, José-luis Moraguès, universitaire, Bruno Morand, militant communiste marxiste léniniste, Jean-Luc Mouliène, artiste, Alexandre Moumbaris, directeur de publication - Editions Démocrite, Chiara Mulas, artiste, Myr Muratet, photographe, Frédéric Mustar, informaticien, Méricourt (62), Olivier Neveux, universitaire, Bernard Noël, écrivain Prix National de Poésie 1992, Stéphane Nowak Papantoniou, poète, Paul Obadia, enseignant docteur en cinéma, Philippe Olivera, éditeur, Original Tonio, rappeur, Jean Pierre Page, syndicaliste CGT, Aline Pailler, journaliste, Ugo Palheta, sociologue, Georgio Passerone, maître de conférences, Florence Pazzotu, écrivaine, Etienne Penissat, sociologueCharles Pennequin, écrivain, Anita Perez, monteuse de films, Marc Perrin, écrivain, Primaël Petit, conseiller municipal St Herblain, Gauche Indépendantiste Bretonne, Lucien Petit, Lieu Auto Géré (LAG) , Liévin (62), Clément Petitjean, éditeur, Serge Pey, poète, Philippe Pignarre, éditeur – écrivain, Alain Pojolat, syndicaliste, Polak, rappeur, Chantal Portaux, militante des Amis d’Edward GierekPremière Ligne, groupe Rap, Christian Prigent, écrivain, Serge Quadruppani, écrivain, Nathalie Quintane, écrivaine, Jean Rabinovici, journaliste, Tancrède Ramonet, cinéaste, Isabelle Rimbert, journaliste, Gaêl Roblin, porte-parole de la Gauche Indépendantiste Bretonne, Daniel Rougerie, bloggeur (59), Pierre Rousset, Europe solidaire sans frontières, Ryam, rappeur, Catherine Samary, économiste, Fernando Sanchez, Euskal Herria, Sept VII, rappeur, Skalpel, rappeur, Thomas Sommer-Houdeville CCIPPP - flottille pour Gaza, Pierre Stambul, co-président de l'UJFP, Bernard Stiegler, directeur de l’Institut de recherche et d’innovation, Daniel Stolla, gynécologue obstétricien Médecins du Monde, Jean-Marie Straub, cinéaste, Michel Surya, Prix Goncourt Biographie Fondateur revue Lignes, Farid Taalba, écrivain, Michel Tabanou, artiste, Grégory Tahar-Chaouch, chômeur, Lille (59), Jacques Tardi, dessinateur, Anne-Lise Teneul, journaliste - Lens, Jean Pierre Thorn, cinéaste, Georgette Tournel, Alliance rouge et noire (62), Dominique Tricaud, avocat, Marcel Trillat, cinéaste, François Tronche, directeur de recherche CNRS, Robert Valbon, metteur en scène, Pascal Verroust, producteur, Jean-Jacques Viton, écrivain, Michel Vuaillat, syndicaliste, ex-ouvrier du textile, secrétaire de l’Union communiste, Bernard Ripert, avocat, Michel Warschawski, journaliste, Luc Weingartner, syndicaliste, Gautier Weinmann, militant rouge (62), Yannis Youlantas, cinéaste écrivain, Armand Zvenigorosky, violoncelliste et militant.

Associations, partis politiquues etc...

Action Antifasciste Marseille, Action Antifasciste NP2C, Action Antifasciste Tolosa, Alliance rouge et noire, Alternative Libertaire, Alternative Libertaire Clermont Ferrand, Avocats Debout (collectif), Cellule Révolutionnaire Antifasciste d'Auvergne, CNT HPBB (Hôpital Privé Bois Bernard) 62, Comité Basque Lille, Comité Libérez-Les de soutien aux prisonniers et réfugiés politiques 59/62, Compagnie Jolie Môme, Coup pour Coup (31), Femmes en lutte (93), Les Amis de Joseph Tournel, association (62), Nouveau Parti Anticapitaliste, Parti Communiste Maoïste, Quartiers Libres, association, Voie Prolétarienne

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Militants d'AD

Situation des  MILITANTS

Nathalie Ménigon

Georges Cipriani

en libération conditionnelle

Jean-Marc Rouillan

en semi-liberté 

NOS COMBATS

(avril 2010)

Après la semI-liberté de Georges Cipriani, la campagne continue pour la libération de Jean-Marc Rouillan
et encore et toujours  
Pour une solidarité avec ces militants en semi-liberté, en libération conditionnelle et au-delà car le but reste le même: leur permettre de préserver leur identité politiqe et de vivre matériellement, politiquement.

(septembre 2008)

Contre le risque de peine infinie pour les prisonniers révolutionnaires - contre la rétention de sûreté - contre le CNO
Pour une libération complète et sans condition des prisonniers révolutionnaires
Pour une solidarité avec ces militants en semi-liberté, en libération conditionnelle et au-delà car le but reste le même: leur permettre de préserver leur identité politiqe et de vivre matériellement, politiquement.

  (août 2009)


Le combat pour la libération des prisonniers d'Action directe doit donc continuer et se renforcer ...
Après la réincarcération de Jean-Marc Rouillan, nous avons appris ce 20 août, le refus brutal et tellement politique de la libération conditionnelle pour Georges Cipriani.

Alerte: La santé, la vie de Jean-Marc Rouillan sont menacées, il doit être libéré.
Liberté pour Georges Cipriani'

C. GAUGER ET S. SUDER

PROCES CONTRE C. GAUGER ET S. SUDER

Pour suivre le procès : lire

 

LIBERATION DE SONJA SUDER

EMPRISONNEE DEPUIS SEPTEMBRE 2011 POUR DES FAITS REMONTANT A PLUS DE TRENTE ANS ET SUR LES SEULES ACCUSATIONS D'UN TEMOIN REPENTI HANS-JOACHIM KLEIN.

 

ARRET DES POUSUITES CONTRE CHRISTIAN GAUGER ET SONJA SUDER

ENGAGEES AU MEPRIS DE TOUTE PRESCRIPTION

SUR LES SEULES BASES DE DECLARATIONS OBTENUES SOUS LA TORTURE D'UNE PART ET D'UN REPENTI D'AUTRE PART

 

NON A LA TORTURE - NON A LA CITATION COMME TEMOIN D'HERMANN F.

Militant grièvement blessé en 1978, interrogé dès le lendemain d'une opération où il a perdu ses deux yeux et a été amputé des deux jambes, séquestré durant quatre mois sans mandat d'arrêt par la police, maintenu à l'iolement, et dont le tribunal prétend aujourd'hui utiliser les déclarations, qu'il a remis en cause dès qu'il a qu'il a pu être libéré des griffes des policiers.

 

LIBERATION DE SIBYLLE S., ARRETEE LE 9 AVRIL EN PLEIN PROCES POUR REFUS DE TEMOIGNER :

 

condamnée il y a plus de trente ans sur la base des déclarations de son ex-compagnon Hermann F., elle est restée proche de lui toutes ses années et refuse qu'on utilise ces déclarations qui lui ont été extorquées au prix de traitements inhumains.

 


Liberté pour Sibylle et Sonja 2